©Dargaud/Trondheim, Lewis
T9 - L'accélérateur atomique
Les formidables aventures de Lapinot
pour 9 notes.
Humour -
Trondheim, Lewis Couleur : Findakly, Brigitte
Edition Dargaud - 01/01/2003
Collection Poisson Pilote
EAN : 9782205054064 | ID-BDovore : 22420
Synopsis :
Dans cet épisode, Lapinot, habillé en groom, accompagné d'un ami journaliste et d'un petit écureuil va devoir lutter contre un savant fou, des hommes invisibles et quelques parfaits crétins.
Trondheim dédie ce livre à André Franquin, et c'est vrai que l'on trouve beaucoup du génial inventeur de Gaston et repreneur de Spirou dans cette histoire.
Lapinot est habillé en groom avec un bel uniforme rouge, il a un écureuil et son ami est journaliste dans un magazine hebdomadaire de Bande Dessinée.
L'histoire, elle-même drôle, vive et enlevée, met en scène un savant fou, qui vole des bijoux pour financer un projet qui sauvera l'humanité. Il y a énormément d'inventions biscornues, des hommes invisibles, des voitures étonnantes et des machines bizarres.
Trondheim dédie ce livre à André Franquin, et c'est vrai que l'on trouve beaucoup du génial inventeur de Gaston et repreneur de Spirou dans cette histoire.
Lapinot est habillé en groom avec un bel uniforme rouge, il a un écureuil et son ami est journaliste dans un magazine hebdomadaire de Bande Dessinée.
L'histoire, elle-même drôle, vive et enlevée, met en scène un savant fou, qui vole des bijoux pour financer un projet qui sauvera l'humanité. Il y a énormément d'inventions biscornues, des hommes invisibles, des voitures étonnantes et des machines bizarres.
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Au lu des derniers tomes de la série, j’avoue avoir pris un certain plaisir à la lecture de ce dernier. Désolé pour les mordus de Trondheim, mais j’ai l’impression que ces derniers albums étaient un peu moins « fertiles ». Trop prolifique ?…
N’empêche, je n’ai pas boudé mon plaisir avec ce « Lapinot ».
Pourquoi ?… grâce à cet hommage assez appuyé qu’à fait l’auteur à propos de Spirou et Fantasio de l’époque Franquin.
J’ai trouvé une vraie fraîcheur un rien iconoclaste et décalée, une parodie qui régénère d’une certaine façon l’âme de Franquin.
Bon, c’est vrai, le scénario reprend une idée d’un bon vieux « Tif et Tondu » mais j’ai apprécié l’ensemble avec l’écureuil râleur, le reporter à la pipe et le groom rouge intemporel.
Allez. Pas mal du tout.