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©Dargaud/Marini, Enrico

T1 - Les aigles de Rome, Livre I
Les aigles de Rome

pour 44 notes.

Aventures Historiques -
Edition
EAN : 9782505001379 | ID-BDovore : 47211

Synopsis : 743 urbe condita ,11 avant J.C
De tous les peuples de l'Empire, les Germains sont les plus braves » aurait pu déclarer Drusus, à qui a été confiée la délicate mission de soumettre les irréductibles barbares de Germania. Le combat terminé, le Prince Sigmar offre son fils Ermanamer en otage aux Romains. César confie l'éducation de ce jeune barbare chevelu au fidèle Titus Valerius Falco, qui a justement un fils du même âge, Marcus, qui lui aussi aurait bien besoin d'une éducation digne de ce nom.
Entraînement complet et discipline de fer : les deux jeunes garçons affrontent ensemble les terribles épreuves auxquelles les soumet leur entraîneur, ancien légionnaire. Au fil de ces expériences éprouvantes, le jeune Romain insolent et le Germain au sang chaud transforment leur haine réciproque en profonde amitié. Surtout quand ils découvrent ensemble les charmes irrésistibles de la gent féminine.



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Posté par le 2021-06-20 15:29:59

Bon début d'histoire




Posté par le 2008-03-21 08:59:27

Très bon début, et les dessins de Marini valent toujours autant le détour.Mais attendons toutde meme de voir la suite ceci n'était, je l'espere, qu'une mise en bouche




Posté par le 2008-01-23 19:15:58

Bien bon que tout ceci.
Un premier tome qui augure d’une belle et bonne série.
Les « Aigles de Rome » ?… c’est l’histoire d’une amitié virile entre le fils d’un notable de Rome et d’un esclave barbare… au sang princier (euh… ça ne vous rappelle pas « Alix » ?…)
Ici, ces deux « frères » vont être élevés et formés dans la dureté de ce qu’était la légion romaine. Ce que j’ai apprécié est que cette époque présentée, ainsi que la Rome d’alors, n’ont rien à voir avec l’image que certains films dits « peplums » ou même certaines séries BD donnent habituellement.
Ici c’est du cru, du vrai ! Je me suis trouvé plongé dans une période brutale, dure… et dépravée aussi. On est loin de « Ben-Hur » ou de « Cléopâtre ». C’est violent, morbide aussi ; le sang giclant dans les scènes de batailles. ET- surtout- le sexe n’est pas oublié. Ce dernier est assez débridé, les scènes érotiques « animent » les bas-fonds de la cité. Sans oublier le vocabulaire : on est loin, ici, des convenances « pudiques » de la langue française.
Le dessin ?… ah que oui !… un magnifique graphisme au trait réaliste de toute beauté ; le tout réellement magnifié par l’abondance des détails, des décors et arrière-plans.
Déjà que j’apprécie la période antique, j’ai vraiment aimé ce tome. Et même si l’histoire contée ne renouvelle pas le genre, c’est fichtrement bien fait.




Posté par le 2008-01-13 16:41:01

L'image d'une Rome décadente et violente, vérité historique rétablie et portée à la connaissance du grand public essentiellement par le feuilleton éponyme, a déjà donné lieu à des planches dignes d'intérêt. Le très talentueux Marini s'attaque à ce thème convoité avec une recherche historique indéniable, qui ne sera pas forcément perçue par le lecteur non familier de cette époque, mais que tout curieux de nature explorera avec plaisir. Le parti pris de l'auteur pour un langage contemporain pourra gêner aussi quelques-uns même si l'on s'y fait très rapidement. Bien sûr, le dessin de Marini est toujours aussi irréprochable et admirable, avec des personnages aux caractères bien trempés. Mais l'organisation du récit compte quelque maladresse, avec de trop importantes ellipses : l'accouchement de l'esclave est assez surprenant, et le détachement des personnages s'accorde mal avec le tragique de la situation. On a l'impression (je peux me tromper) que l'auteur a sacrifié un peu le "planté de décor" pour gagner en action. Mais les fans du Scorpion pardonneront volontiers ces quelques défauts à son auteur. On attend donc beaucoup du deuxième volet de ces aventures, en souhaitant un approfondissement des caractères, une narration un peu moins rapide et des événements mieux amenés pour gagner en cohérence, et en espérant surtout une histoire qui ne versera pas dans le consensuel "du sang et du sexe".
Mais laissons à maître Marini le temps de parfaire ses débuts de scénariste fort prometteurs...