couverture
©Éditions Bedescope/Masson, Philippe

T1 - Celtil
Celtil

pour 1 notes.

Aventure -
Edition Éditions Bedescope - 01/03/1986
ID-BDovore : 52439

Synopsis : Celtil ?… il est centurion d’une légion gauloise qui dépend du général Galba. Lui et son esclave Glaucus cheminent vers Rome. Leur but ?… affranchir Glaucus devant un magistrat.

Il pleut et tous deux trouvent refuge dans une auberge campagnarde. Celtil va alors sauver une jeune servante des coups que lui donne Petreius, un officier de la garde prétorienne, qu'il va ridiculiser.

C’est ensuite l’arrivée à Rome où notre ami va tomber dans une rafle organisée ; laquelle a pour but de recruter de force des gladiateurs. Las, il est reconnu par Petreius qui tient là sa vengeance. Mais la belle Silvia Paulina arrive à l’avoir pour son usage personnel.

Bien malgré lui, Celtil va se retrouver mêlé à un complot qui vise l’empereur. Victime de fausses rumeurs, craignant pour sa vie, Néron et quelques hommes se réfugient à la campagne. Pendant que Galba est nommé empereur, Celtil - fidèle à Néron - tente de le retrouver. Lui et Glaucus réussiront-ils cette quête ?….



Source : Lymagier



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Posté par le 2011-02-17 23:18:34

Halala !!!… Qu’est-ce que c’est que d’acheter une BD « inconnue au bataillon » sans d’abord bien la paginer. On éviterait ainsi d’être souvent déçus !…

Et c’est ce qui m’est arrivé. « Celtil » ?… c’est plutôt un coup de cœur pour sa belle couverture qui en fit son achat : un grand carré représentant un combat de gladiateurs au centre ; le tout entouré d’une large bande de teinte orangée… un peu comme la couleur du sable d’arène. Un grand titre, lettres noires : Celtil. En-dessous du dessin : le nom de l’auteur. Clair et net. Joli.

Mais une fois de retour chez moi, plongeant dans l’album : quelle déception. J’ose écrire : mon dieu que c’est laid !…

Ben oui : que l’histoire soit assez confuse, que les développements du scénario soient alambiqués… on s’y fait (un peu). C’est plutôt au niveau du graphisme que j’ai hoqueté. De nombreuses têtes, des membres divers sont disproportionnés par rapport au(x) corps ; certains profils de personnages ont des « bouches de canards », des intervenants semblent « plantés » dans le décor. Il est vrai que, au gré des pages, cela s’arrange MAIS c’est souvent la première impression du lecteur qui compte et, ici, elle ne fut pas bonne.
Dommage, car les décors et arrière-plans sont nombreux, certains fort détaillés, offrent moult détails et nous font plonger de bon cœur dans cette Rome antique.

Les couleurs : ce sont plutôt les personnages qui sont colorisés ; leur « contenant » restant souvent en trait noir sur fond blanc. Et l’air de rien, cela donne quand même un charme aux pages.

Tout ça pour ?…Un album qui me reste un peu en travers de la gorge. Un bel emballage pour un « cadeau » moyen. C’est comme au resto : vous êtes alléché par un plat, le commandez et êtes déçu de ce que vous retrouver sur votre assiette.
Un deuxième tome est annoncé. Jamais paru. Je ne m’en inquiète pas.