©Casterman/Taniguchi, Jirô
T3 - L'apaisement
Le journal de mon père
pour 3 notes.
Mangas - Seinen -
Taniguchi, Jirô Couleur : <n&b>
Edition Casterman - 01/06/2000
Collection Romans
EAN : 9782203334885 | ID-BDovore : 10914
Synopsis :
Dans ce dernier volume du “Journal de mon père” Yoichi, le héros-narrateur, nous livre la suite de son histoire. Nous l’avions laissé à l’aube de son adolescence, le cœur depuis longtemps brisé par le départ de sa mère. À cette époque Yoichi avait décidé de s’investir dans le sport. Et son père s’inquiétait pour l’avenir d’un fils solitaire et taciturne. Yoichi continue ici de décrire ses états d’âme, les circonstances de son évolution, les raisons profondes qui ont motivé ses choix. On apprendra alors pourquoi il abandonne enfin son club sportif et décide d’aller faire ses études à Tokyo. Comment, d’une année sur l’autre, il trouvera toujours le bon prétexte pour éviter de retourner passer ses vacances à Tottori, sa ville natale.
On retrouve ici, comme dans les volumes précédents de ce “Journal” à la fois intime et pudique, les membres de la famille Yamashita réunis autour du défunt père de Yoichi. Le deuil unit les êtres mais ravive les plaies, pourtant c’est là que les protagonistes – l’oncle Daisuke, libéré par le sake, la sœur et la belle-mère de Yoichi – pansent bon nombre de leurs blessures. Le récit est suivi d’une postface de l’auteur. L’effet produit est d’autant plus surprenant que Taniguchi nous y révèle le caractère autobiographique du “Journal de mon père”. Ce texte, dont le ton renvoie à l’atmosphère du "Journal", finira d’éclairer sur le secret qui semble planer au-dessus des âmes tout le long du récit.
On retrouve ici, comme dans les volumes précédents de ce “Journal” à la fois intime et pudique, les membres de la famille Yamashita réunis autour du défunt père de Yoichi. Le deuil unit les êtres mais ravive les plaies, pourtant c’est là que les protagonistes – l’oncle Daisuke, libéré par le sake, la sœur et la belle-mère de Yoichi – pansent bon nombre de leurs blessures. Le récit est suivi d’une postface de l’auteur. L’effet produit est d’autant plus surprenant que Taniguchi nous y révèle le caractère autobiographique du “Journal de mon père”. Ce texte, dont le ton renvoie à l’atmosphère du "Journal", finira d’éclairer sur le secret qui semble planer au-dessus des âmes tout le long du récit.
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