couverture
©Glénat/Corteggiani, François

T4 - Là où souffle le vent du diable
Sundance

pour 1 notes.

Western - /
Couleur :
Edition Glénat - 01/09/1998
Collection Vécu

EAN : 9782723426022 | ID-BDovore : 2654

Synopsis : Nous sommes en 1899, à Billings, dans le Montana...
Charles Harvey Longbauch -dit "Sundance Kid"- a été pendu haut et court. Mais ça, c'est la version officielle. En réalité le véritable cadavre est celui d'un pasteur assassin.
Et Sundance ?... Il a été "récupéré" et pris en main par un agent du gouvernement et une mission lui a été imposée : traquer et éliminer tous les membres du "syndicat" des voleurs de trains dont il était le chef.

En échange ?... la garantie que sa propre fille -Emma- vivra dans le futur en toute sécurité.
Forcé d'accepter, Sundance va se mettre en route, flanqué d'un agent de la compagnie Pinkerton : James Stringo...

Et Sundance va commencer sa mission de "nettoyage", traquer et éliminer ses anciens partenaires. Ce qu'il ne sait pas, c'est qu'une fois que tout sera terminé, et s'il est resté en vie, le gouvernement a décidé d'un dernier tueur à éliminer : lui !...



Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition


Données privées
(pour votre utilisation personnelle)

Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote :
E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique :
Prêt : Dernier emprunteur : Email :
Remarque personnelle (état, mémo, ...) :

Commentaires des membres : (vous pouvez également donner un avis de lecture)
Ma Note:
Avis de lecture * :

* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site

Posté par le 2007-08-16 19:57:46

Du côté du scénario, pas de problème : c'est du solide. Je me suis baladé dans une sorte de western crépusculaire qui verra la fin des derniers vrais "cow-boys" à l'aube de ces temps modernes.
Le dessin ?... à vrai dire -et lors de la sortie des tomes de la série- tout cela m'avait semblé du "sous Durango" ; l'impression de lire du western italien de série Z.

Pourtant, voici peu, j'ai revu "Le grand silence" de Sergio Corbucci, "Sabata", "Un pistolet pour Ringo" et autres "Django" ; de bons "vieux" films que j'avais apprécié... voici pas mal d'années.
J'ai alors repris mes "Sundance". Et j'ai revu mon jugement sur Michel Suro.
La mise en page est de bonne facture, le sens du rythme est là ainsi que les découpages. J'ai même retrouvé avec un certain plaisir le gars de l'agence Pinkerton -James Stringo- qui a tout de l'acteur Lee Van Cleef, bouffarde comprise.

Dommage pourtant car la série -avec ce quatrième tome- se termine un peu en eau de boudin. Après avoir -avec l'aide d'un vieux chasseur de primes- liquidé une importante bande de voleurs de banques, Sundance s'en va sans une parole. D'après le début du 4ème album, pourtant, il lui reste encore une bonne demi douzaine de ses anciens "équipiers" à éliminer...
Où est-il passé ?... Que va devenir Emma?... Est-ce Stringo qui doit l'éliminer en dernier ?.. Et d'autres questions encore que je me suis posées.

Un vrai goût de "manque" en fin de ce qui peut être considéré comme un premier cycle (mais est-ce un cycle ?)... Cela fait 8 ans que Sundance a disparu. Je ne compte plus trop le retrouver. Dommage, j'avais pris un vrai plaisir à cette rencontre.