couverture
©Bamboo Éditions/Bouüaert, Thierry

T2 - Le plaisir égoïste du partage
Le style Catherine

pour 2 notes.

Société -
Couleur :
Edition Bamboo Éditions - 02/03/2005
Collection Angle de Vue

EAN : 9782915309836 | ID-BDovore : 28013

Synopsis : Tu ne devineras jamais où on s’est installées, Solange et moi : au bord de la mer ! Nouvelle cité, nouvelle vie, quoi ! Et même nouveau "job étudiant" à la piscine municipale ! Tu connais le rapport fusionnel que j’entretiens avec l’eau... alors, imagine mon bonheur !

Pourtant, je me sens incapable d’en profiter. C’est un peu comme si j’avais le sentiment de ne pas y avoir droit, à tout ça ! Je doute de moi, de ma soeur... Alors je fais la fête avec les copines, c’est toujours ça de pris ! Mais là aussi, j’ai l’impression que quelque chose cloche... Ca vire un peu trop mortel, ces temps-ci. Il y a Jurgen aussi. Avec lui, c’est l’amour platonique, parce que je n’ose pas l’aborder ? J’ai peur de ne pas lui plaire.

Et puis il y a toi qui, patiemment, courageusement, reste là sans rien dire, à me regarder vivre. T’as pas idée du bien que ça me fait. Bisous tout plein.

Catherine



Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition


Données privées
(pour votre utilisation personnelle)

Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote :
E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique :
Prêt : Dernier emprunteur : Email :
Remarque personnelle (état, mémo, ...) :

Commentaires des membres : (vous pouvez également donner un avis de lecture)
Ma Note:
Avis de lecture * :

* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site

Posté par le 2007-08-16 19:55:21

Catherine, c'est la jeune héroïne d'une série qui a plutôt belle allure.
Bouüaert y va d'un dessin sans indulgence pour les mochetés de ce bas monde ; des univers sombres, humides, qui transpirent avec justesse le désarroi de l'adolescente.

Ce journal intime illustré fait néanmoins montre d'un certain nombrilisme parfois agaçant.

L'opus se termine par un final très grave. Sans doute parce qu'à 16 ans (l'âge supposé de Catherine) chaque coup de cafard est vécu comme un séisme, pas vrai ?...