couverture
©Delcourt/McFarlane, Todd

T1 - Résurrection
Spawn (Delcourt)

pour 6 notes.

Comics - - Collectif
Edition Delcourt - 17/05/2006
Collection Contrebande

EAN : 9782756002972 | ID-BDovore : 35287

Synopsis : Le lieutenant-colonel Al Simmons était un agent des Forces Spéciales. Exécuté par ses supérieurs, et parvenu aux Enfers, il signe un pacte qui doit lui permettre de retrouver Wanda, son épouse. Victime d’un marché de dupe, il est ressuscité sous la forme d’un Hellspawn, une créature chargée de mener les hordes infernales contre les armées célestes…


Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition


Données privées
(pour votre utilisation personnelle)

Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote :
E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique :
Prêt : Dernier emprunteur : Email :
Remarque personnelle (état, mémo, ...) :

Commentaires des membres : (vous pouvez également donner un avis de lecture)
Ma Note:
Avis de lecture * :

* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site

Posté par le 2008-09-16 12:57:25

Très bon Comic's à déconseiller aux plus jeunes...
Bel ouvrage de qualité, par contre, petit point noir, il manque 2 numéros dans cet ouvrage.
En lieu et place on y trouve ceci :
"Le présent volume des aventures de Spawn reprend les épisodes de la série éponyme depuis le début. En revanche, comme les pages suivantes le prouvent, nous passons de l'épisode 8 de la série à l'épisode 11. En l'occurrence, les épisodes 9 & 10 disparaissent, ce qui mérite quelques explications.

Lorsque Todd McFarlane créa et lança son personnage et sa série en 1992, l'ensemble des créateurs réunis sous le label Image cohabitait de manière fort sympathique, sans disposer d'un cadre juridique identique à celui observé chez d'autres éditeurs installés depuis plusieurs décennies. C'était également le cas des artistes invités à prêter main forte aux jeunes créateurs, le tout dans une joyeuse et inconsciente pagaille, entretenue par une créativité débordante et un succés commercial sans précédent.

Plusieurs pointures du comics parmi lesquels Frank Miller et Alan Moore écrivirent alors chacun un épisode de Spawn (et ces contributions figurent bien dans le précédent volume). Ce fut également le cas de Neil Gaiman, qui amena les personnages d'Angela et de Cogliostro, et de Dave Sim, qui mit en scène Cerebus - son propre personnage - dans les pages de Spawn. Prés de 15 années plus tard, les collaborateurs d'hier en sont venus à s'expliquer sur la paternité et la propriété des personnages en question. Un certain nombre de point juridiques restant en suspens autour de ces questions, les épisodes respectivement écrit par Gaiman et Sim ne font pas partie de cette réédition.

Que les fans se rassurent cependant, ils ne sont pas nécessairement indispensable à la compréhension de l'ensemble de Todd McFarlanne."




Posté par le 2007-12-21 22:32:22

Je la croyais plus récente. Ben non, cette série débute dans son propre fascicule n° 1 de Mai 1992.
Spawn ?… un personnage vraiment mystérieux, enveloppé d’une longue cape (va falloir faire un jour un recensement de tous les héros portant une cape !…) et qui hante les plus vils quartier de New-York. Un homme ?… non… une ombre plutôt, revenue d’entre les morts, et à la recherche de son identité…

Pas mal. Premier tome d'une série dynamique –qui sera déclinée en plusieurs cycles- mais quand même extrêmement violente. Mac Farlane ne recule en effet devant aucune situation excessive pour montrer au lecteur –du moins celui qui aime les sensations fortes- les tourments de son héros.

Mais –avis personnel- le postulat et ses développements m’ont comme un goût de déjà vu/déjà lu : un gars assassiné qui fait un pacte avec une sorte de maître de l’au-delà, qui revient sur Terre pour se venger, qui va se retourner contre ce « maître » et ensuite prendre la défense des faibles et des opprimés… c’est quand même pas une idée par trop originale.

N’empêche : c’est quand même bien foutu et j’ai pris un certain plaisir à suivre les débuts de la geste de cette ombre. Mais sans plus.