couverture
©Éditions Carabas/Dodé, Antoine

T2 - Armelle & mon oncle
Armelle

pour 1 notes.

Romans Graphiques -
Couleur : <n&b>
Edition Éditions Carabas - 06/02/2007
EAN : 9782351002094 | ID-BDovore : 40332

Synopsis : Mathias n'a pas oublié la jeune Armelle. Il grandit. Le temps passe et il continue de penser à elle. Parfois elle semble avoir la forme d'un nuage, court avec un oiseau, pleure des larmes noires...

Mathias est de plus en plus paumé, n'a plus ses repères entre son père malade et qui ne lui parle plus, les filles avec lesquelles il n'ose aborder une quelconque conversation et -surtout- cet oncle étrange arrivé un jour sans crier gare...

Qui plus est, il a entamé une bande dessinée, intitulée "Armelle", mais qu'il n'arrive pas à continuer. Son rêve ?... du moins l'un d'eux... c'est de devenir un "papy"... mais avant, il faut être "papa".. et comme ça ne va pas avec les filles, que faire ?...

-Par LYmagier-



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Posté par le 2007-12-29 17:35:14

Que faire, en effet de cette BD ?... Pfouhhh... dur dur !...

Une histoire curieuse, attachante et détestable en même temps ; une histoire de tout et de rien, des états d'âmes "jetés" sur le papier.

Chronique sociale ?... non... drame humain ?... non plus... "n'importe quoi"?... oui et non. Non parce que l'auteur développe un univers personnel assez onirique, un univers ou la réalité se mêle aux rêves.

Une histoire qui me fait penser à une longue phrase d'une vieille chanson : "Daydream" -(Wallace Collection, 1968)- dont la traduction française est (de mémoire) :

" Rêverie, mon coeur est triste comme dans un miroir, et mes pensées couleur d'espoir s'en vont au fil de l'eau"...

C'est un peu ça, cet opus : une sorte de rêve éveillé, d'espoir contenu... ou alors l'auteur doit fumer de sacrés pétards !...

J'ai détesté... et aimé en même temps. Peut-être à cause du graphisme ?... car peut-on parler de dessin ?... le trait, la mise en page semblent avoir été réalisés par un gamin de dix ans.

Mais c'est peut-être ça qui en fait la force : "dessiner comme quand j'étais gamin".