couverture
©Les Humanoïdes Associés/Jodorowsky, Alexandro

T1 - Le clown frappeur
Pietrolino

pour 7 notes.

Drame - /
Edition Les Humanoïdes Associés - 25/10/2007
EAN : 9782731620009 | ID-BDovore : 47201

Synopsis : Pietrolino est un mime, qui au cours d'un spectacle dans un bar, se fait briser les mains par des nazi n'appréciant guère sa représentation de la seconde guerre mondiale. Trahi par sa compagne, c'est avec son fidèle compagnon de spectacle, qu'il se retrouve dans un camp de travail en Allemagne.


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Posté par le 2009-03-10 21:52:09

Voila une excellente série chez les humano.

cette série nous permet, de nous plongez dans le déssin merveilleux de boiscommun qui possède ce trait si particulier mêlant poésie et innocence.
Quant au scénario nous retrouvons le père d'innombrable série à succès le grand Jodorowsky.

Nous allons suivre dans ce tome les mésaventures d'un mime exerçant son art en pleine occupation nazi.

Et voir que derrière chaque ses représentations il y a une résistance passive, mais qui tient à cœur au mime.

cette bd quoique un peu rapide à lire et une vraie bouffée d'air frais malgré le contexte difficile dans lequel il évolue le personnage principale garde une certaine lueur d'espoir dans ses yeux grâce notamment au talent du dessinateur qiu sait comme personne faire vivre ces personnage.

Et en termes de scénario, c'est très bon, c'est très plaisant de lire du jodorowsky qiu ne soit pas trop noir.




Posté par le 2008-01-23 19:09:41

Une histoire quand même assez dure, mais néanmoins racontée avec beaucoup de finesse.
Et malgré cette histoire sombre d’un mime et de son ami qui arpentent les routes pour donner un peu de joie aux populations opprimées par les nazis (nous sommes en pleine seconde guerre mondiale), les personnages dégagent une poésie certaine.
Et c’est ce qui m’a plu : un peu de douceur dans un monde de brutes mis en exergue par des décors et arrière-plans violents et assez sombres.
« Pietrolino » ?… c’est un peu de soleil dans l’eau froide ; une sombre page de l’Histoire traversée par un petit souffle de simplicité, de complicité.
Une balade d’un petit groupe de saltimbanques que j’ai pris plaisir à suivre…