couverture
©Kana/Koike, Kazuo

T2 - Qui sème le vent récolte la tempête
Lady Snowblood

pour 5 notes.

Mangas - Seinen - /
Couleur : <n&b>
Edition Kana - 11/01/2008
Collection Sensei

EAN : 9782505002673 | ID-BDovore : 48512

Synopsis : De missions en contrats, Lady Snowblood, l’insaisissable tueuse, poursuit son unique objectif : retrouver et exécuter les hommes qui ont détruit sa famille !
Ils ne sont plus que deux à abattre, mais la piste laissée par les brigands n’est pas facile à suivre après toutes ces années. Sur les conseils du chef d’un groupe de mendiants, Yuki, rencontre un célèbre écrivain pour qu’il raconte son histoire dans un livre afin d’inciter ces ennemis à se manifester ! Malheur à celui qui se trouvera sur la route de Lady Snowblood !!



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Posté par le 2008-06-13 22:58:51

Une grande libraire. Un grand rayon (un pan de mur plutôt !) « Manga ». Pas trop d’idée(s). Tiens, en voilà un qui se détache des autres… une « brique » de plus de 500 pages entourée d’un bandeau jaune : « Le manga qui a inspiré Tarantino pour Kill Bill ». Bien aimé les deux films. Ouverture… préface de Jean-Pierre Dionnet. S’il en a rédigé une, c’est que ça doit être bon. Et ça l’est.
Je n’ai pas lu le premier tome mais j’ai vite compris la mission principale de Lady Snowblood : « liquider » ceux qui ont détruit sa famille. Simple comme scénario… mais page après page, je suis entré dans un univers très cru ; un univers fait de sexe, de sang et de larmes. Décoiffant par moments –non pas au point de vue narratif- j’ai eu l’impression réelle de lire un véritable story-board de film. Kamimura travaille graphiquement le scénario comme un film se déroulant. Il utilise jours, contre-jours, plongées, zoom, plans larges et raccourcis dans une sorte de course haletante où –même si les décors et arrière-plans- sont souvent esquissés- le lecteur en prend souvent plein la figure par l’utilisation de l’espace dessiné.
J’ai été surpris, agréablement, par cette longue histoire de vengeance qui –créée voici 35 ans- n’a pas pris une ride. Je suis loin d’être un amateur de mangas mais des pareils, « c’est quand vous voulez ».