couverture
©Dargaud/Wilbur

T5 - L'année du phénix
Tigresse Blanche

pour 1 notes.

Aventure - - /
Edition Dargaud - 01/02/2008
EAN : 9782505002628 | ID-BDovore : 49410

Synopsis : La triade des Tigresses Blanches n’a jamais été en si grand danger. D’une part, le secret du tatouage invisible est dévoilé suite à l’assassinat de leur grand maître tatoueur. Les Tigresses Blanches peuvent donc être facilement identifiées. D’autre part, sur l’ordre de Kang Sheng, Alix doit démasquer des espionnes nationalistes infiltrées parmi les Tigresses. Lors de sa mission, les Tigresses de Shanghai sont toutes exécutées. Étant la seule survivante, Alix est accusée d’être la traîtresse que tous recherchent. Nous retrouvons l’agent français « Dragon aux trois couleurs » qui l’escortera jusqu’à Zizhu.


Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition


Données privées
(pour votre utilisation personnelle)

Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote :
E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique :
Prêt : Dernier emprunteur : Email :
Remarque personnelle (état, mémo, ...) :

Commentaires des membres : (vous pouvez également donner un avis de lecture)
Ma Note:
Avis de lecture * :

* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site

Posté par le 2008-08-22 21:56:24

Un opus un peu à part, qui est plus « sérieux » que les précédents. La guerre civile , en cette année 1947, sert de tableau à l’opposition de deux « clans : celui de la Triade des Tigresses Blanches et celui des services secrets britanniques. Cela nous vaut une histoire assez inspirée où les Britanniques ne feront pas de cadeaux à cette société secrète alliée des communistes chinois qu’est cette Triade.
L’intrigue ?… riche, précise, aux rebondissements bien amenés. Yann n’est plus au scénario et j’ai ressenti comme un « nouveau vent » au postulat général où intrigues et intensité dramatique sont nettement plus dures qu’auparavant. Cela n’empêche pas de suivre une héroïne attachante dans ses démêlés avec l’injustice qui la poursuit.
Le dessin ?… J’ai eu difficile de m’adapter aux deux premiers tomes. Mais Alix m’a fait se balader avec elle et, tous comptes faits, m’a embarqué dans ses « voyages », m’a fait rencontrer des gens, des situations, des couleurs qui –petit à petit- m’ont fait marquer un réel intérêt au dessin de Conrad. C’est vrai, c’est toujours pas ma tasse de thé, mais je déguste ce trait et cette mise en page par petites doses, et l’air de rien tout ça n’est pas mauvais du tout ; que du contraire.