couverture
©Bamboo Éditions/Robin, Alexis

T1 - Les mots de la nuit
Borderline

pour 3 notes.

Polar-Thriller - / -
Couleur :
Edition Bamboo Éditions - 06/02/2008
Collection Grand Angle

EAN : 9782350783130 | ID-BDovore : 49539

Synopsis : Il s’appelle Fernando Villa. Il est écrivain. Plutôt un écrivain raté. Plus souvent qu’à son tour il se trouve confronté à ce qu’on appelle le « syndrome de la page blanche ». Ce qui d’ailleurs commence à énerver son éditeur potentiel ainsi que sa gérante de banque où son compte est plus que dans le rouge.
Alors, pour un peu oublier tout ça, Fernando se met un soir à fumer de l’herbe qu’il s’est procurée. De la bonne. De la chilienne. De l’herbe dont les fumées lui donnent des idées. De bonnes idées. Au réveil du lendemain, surprise : encore un peu « planant » il découvre des dizaines de pages couvertes de son écriture ; des pages dont il ne se souvient de rien. Vite, vérifier : une histoire écrite. Et quelle histoire !… Comment n’a-t-il pas pu penser à ça plus tôt ?… Avec cette trame déjà bien développée, Fernando se remet au travail. En trois nuits le roman est bouclé et bientôt édité. C’est le succès. Un très gros succès d’ailleurs que cette histoire de la spirale meurtrière d’un homme. Mais cette fiction ne dépeint-elle pas la réalité ?…



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Posté par le 2008-05-29 14:28:58

Jolie couverture pour un tome dont le contenu –déjà au début- m’a donné l’impression d’un « déjà vu, déjà lu » quelque part.
Un écrivain médiocre qui « s’y met » à l’herbe chilienne dont les vertus de la fumette l’inspirent. Son roman bouclé en trois nuits (content, l’éditeur !) et sa femme qui va se retrouver dans une sorte de spirale dont le meurtre serait le point d’orgue.
Le problème (un des…) ?… l’utilisation de Jean Reno en tant qu’acteur de cette histoire dessinée « comme un film ». Mais un film où je n’ai réellement pas participé, me contentant de lire et non pas d’entrer dans le sujet.
Le graphisme ?… ça se rapproche d’une sorte d’hyperréalisme MAIS les personnages me semblent par moments avoir été « apposés » sur les cases… l’effet d’une ligne de contour trop « large » ?… trop épaisse ?…
Je ne sais. Je crois quand même que la technique du noir et blanc utilisée est bien pensée et réalisée ; donnant ainsi un certain relief à la mise en page.
J‘aime bien Jean Reno. Mais pas ici. L’histoire et ses développements aurait-elle pu être plus attirante avec un « acteur sur papier » inconnu ?… possible… je ne sais. Pas que je suis déçu mais je n’ai vraiment pas éprouvé de grand plaisir à la lecture de ce tome.