couverture
©Kana/Yoshizaki, Mine

T11 - Keroro, Tome 11
Keroro

pour 2 notes.

Mangas - Shônen -
Couleur : <n&b>
Edition Kana - 05/12/2008
Collection Shonen Kana

EAN : 9782505004455 | ID-BDovore : 57993




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Posté par le 2009-01-29 01:14:32

Que dire de ce nouveau tome de Keroro ? La phrase la plus simple pour le résumer serait celle-ci (et on pourrait l'utiliser avec talent pour à peu près tous les autres tomes de la série) : "sitôt lu, sitôt oublié"
Ce n'est pas que la série soit particulièrement mauvaise, mais si l'on excepte les petites référence "otakistes" qui font sourire de temps en temps au fil des pages (oh! rien de méchant, un soupçon d'X-or et un autre d'Evangelion au milieu des courantes de Gundam), les histoires restent tout de même très répétitives, assez gamines (avec en plus un fan service "boops et culotte" de surface complètement inutile) et les personnages humains sont plutôt très fades et peu attachants.
Heureusement, il y a aussi des personnages "humains" insupportables (remarque, vu le faible nombre de personnages, tout cela apparaît bien faiblard) Heureusement ? oui, car ils n'apparaissent que peu dans ce tome :D, tout comme la disparition progressive de cette aberration lourdingue de perso qu'est Angol mois, introduite en début de série, et qui s'accroche au récit comme un poux tenace à une chevelure récemment shampouinée (elle n'a jamais servi à rien, n'a pas de personnalité, les scénarios qui la mettent en scène sont accablants de bêtise et surtout n'a pas une tête de grenouille :petard2: , donc c'est une vraie tâche dans le décor, qui s'accroche pourtant on ne sait pas pourquoi. Grossière erreur de l'auteur, qu'il laisse peut être en place en tant que mesure expiatoire ? je ne vois que ça)
Bref, la série vaut surtout pour les caractères de ses grenouilles E.T, leurs inventions débiles et l'intervention parfois d'éléments extérieurs de leur planète d'origine. Mais, après 11 tomes, force est de constater que tant qu'à se payer des inventions en tous genre et des mascottes kawaïi, on aurait mieux fait de rester tranquillement avec doraemon en fond d'écran de son PC.

Bon, le ton déjanté et dynamique est souvent agréable, mais franchement, à force de facilités de scénario, j'en reviens à ce que je disais plus haut, aucune histoire ne marque l'esprit, tout devient plat finalement, et puis ce n'est pas un graphisme néoténique sans vrai génie (mais on lui reconnaîtra tout de même sa lisibilité, une certaine vivacité et des tronches (parfois) marrantes) qui va réhausser le tout.
Circulez, il n'y a rien à voir...

P.S : note pour plus tard (©Parker Lewis): penser à arrêter d'acheter cette série (mince j'avais déjà dit ça à la parution du tome 5, cette fois essayons de ne pas oublier avant de rattraper l'édition japonaise )