couverture
©Casterman/Baru

Noir
Noir

pour 1 notes.

Recueil -
Couleur : <n&b>
Edition Casterman - 14/01/2009
Collection Ecritures

EAN : 9782203019706 | ID-BDovore : 59506

Synopsis : Noir est une bannière qui convient bien au ton comme au style de Baru. Après Pauvres Z’héros, formidable récit d’une autre noirceur, celle du roman de Pierre Pelot que vient d’adapter Baru dans la collection Rivages / Casterman / Noir, voici, sous ce sombre étendard, un recueil rassemblant plusieurs de ses créations antérieures. Il réunit un récit de longue haleine, Bonne Année (une histoire en 70 planches initialement publiée en album par Casterman en 1998) et plusieurs fictions de format plus court demeurées inédites en album jusqu’à présent, dont Balade irlandaise, encore jamais paru en français car initialement réalisé pour l’édition italienne de la revue Black éditée par Coconino Press.

Exigence narrative, thématiques radicales et énergie graphique exceptionnelle, Baru est tenu, à juste titre, pour un maître de la bande dessinée d’expression française. Le présent recueil en est une nouvelle illustration.



Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition


Données privées
(pour votre utilisation personnelle)

Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote :
E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique :
Prêt : Dernier emprunteur : Email :
Remarque personnelle (état, mémo, ...) :

Commentaires des membres : (vous pouvez également donner un avis de lecture)
Ma Note:
Avis de lecture * :

* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site

Posté par le 2009-05-17 23:19:04

Le problème avec cet « album », c’est que je suis passé du « noir » au rouge ; rouge de rage de trouver dans cet opus une BD de plus de 70 pages parue antérieurement MAIS SOUS UN AUTRE TITRE (voir « Bonne Année »).
Et ça : je ne pardonne pas.
Si la couleur est annoncée sur le cover : d’accord ! On sait à quoi s’en tenir. Mais ici : rien ! Même pas un autocollant ou une bandelette avisant «contient Bonne année ».
Qui plus est, les deux autres histoires –même si la violence y explose, si le trait est énergique, le thème corrosif- m’ont déçudéçudéçu…

Mais pour ceux qui ne connaîtraient pas (et il y en a) l’univers de Baru, ils vont faire la découverte d’un véritable pessimisme distribué à bonnes et hautes doses ; lequel va vous secouer les méninges et les consciences.

Mais pour les autres, dont je suis : fallait-il éditer ce qui est quand même une sorte de fraude sur la marchandise ?… Il devrait y avoir une sorte de garantie de l’éditeur sur ce qu’il fait imprimer, ce qu’il vous vend ou cède (mais ça, faut pas espérer !).
De un : ça éviterait de faire abattre des arbres pour imprimer quelque chose qui l’a déjà été.
De deux : ça me permettrait de me faire rembourses de 50% de la valeur de cet opus.
Petit coup de gueule –c’est rare de ma part- mais c’est mon état d’esprit après la –mauvaise- lecture de ce tome.
D’où cote en rapport. Boum !