couverture
©Casterman/Craenhals, François

T12 - Les cavaliers de l'apocalypse
Chevalier Ardent

pour 2 notes.

Aventure -
Edition
EAN : 9782203317123 | ID-BDovore : 8884

Synopsis : Que d'intrigues au château du roi Arthus pour séparer Chevalier Ardent de ses compagnons, pour éloigner sa chère Gwendoline !
Décidément, ce Corbin, ce conseiller qui domine l'esprit du roi, est un inquiétant personnage.
Et le couvent où l'on enferme la princesse, quel endroit sinistre...
Les puissances infernales vont frapper les trois coups, les éléments se déchaîner. Les cavaliers de l'Apocalypse traversent le ciel.
Mais rien n'arrête Ardent. Saura-t'il crier à temps les mots magiques, seuls capables de renvoyer les démons en enfer... et de sauver Gwendoline ?...



Une erreur sur cette fiche ou votre édition est différente ? Vous pouvez proposer une correction ou proposer l'ajout d'une autre édition


Données privées
(pour votre utilisation personnelle)

Futur achat : Date d'achat : (dd/mm/aaaa) Prix/cote :
E.O : Dédicace : Cadeau : Lu : Ed. numérique :
Prêt : Dernier emprunteur : Email :
Remarque personnelle (état, mémo, ...) :

Commentaires des membres : (vous pouvez également donner un avis de lecture)
Ma Note:
Avis de lecture * :

* : Avis de lecture qui apparaîtra pour tous les visiteurs sur le site

Posté par le 2007-06-17 10:37:22

Un album sur fond de légendes, de monstres marins, d'hommes qui se transforment en peu ragoûtants animaux.
Gwendoline est enfermée dans un couvent, soustraite à Ardent. Il part la délivrer. Point.

Sur ce mince scénario, Craenhals nous présente un album un peu mystique qui surprend, désarçonne le lecteur "initié" de cette longue saga. Ardent combat l'éphémère, monstres hideux, sylphes, anti-hommes... et bien qu'il y réussisse, cela nous laisse comme un goût de trop peu, d'inachevé.

Le scénario s'embrouille sur un fond de légendes qui, bien que bellement relatées, ne fait "qu'embellir", "gonfler" le scénario minimaliste.
Heureusement, le dessin rachète le tout. Un final apocalyptique... une fin très "douce", humaine, nous réconcilie avec l'auteur.

Déçu, personnellement.