Série : Julien Boisvert
Publié par LeYule le 2010-01-15 08:24:02

Chaque tome est une étape dans la vie de Julien Boisvert, personnage en quête de lui-même.
Il s'agit de l’une des séries qui m’a fait réellement aimer la BD et découvrir autre chose que Astérix, Tintin et autres Lucky Luke. Un tournant dans ma vie de Bdovore !

Série : Le vent dans les saules
Publié par LeYule le 2010-01-14 14:24:41

Quelle bonheur que cette adaptation du roman de Kenneth Grahame !
Michel Plessix nous retranscrit admirablement la poésie du livre et nous sert des personnages hauts en couleur. Comment oublier après ça l’émouvant Taupe, le grognon Blaireau ou encore l’incorrigible Crapaud ? Pôôôp !
A lire un dimanche après midi d’hiver au coin du feu...

Série : Chroniques birmanes
Publié par LeYule le 2010-01-14 12:03:17

L’auteur nous raconte son séjour en Birmanie, pays dominé par la junte militaire, à coups d’anecdotes croustillantes sous forme de strips. Choc des cultures, aberrations politiques, réalités sociales sont autant de sujets sérieux traités de manière légère et décalée par Delisle. On a le sourire aux lèvres du début à la fin.

Série : Trois ombres
Publié par LeYule le 2010-01-14 11:41:31

Le combat impossible d’un père qui refuse d’abandonner son fils à son destin. C’est beau, c’est drôle, c’est émouvant. Du grand Pedrosa.

Série : Là où vont nos pères
Publié par LeYule le 2010-01-14 11:34:03

« Là où vont nos pères » ou comment parler (sans un mot) d’un sujet très sérieux de manière poétique et profonde. Chaque planche, chaque vignette est tout simplement sublime. Un régal.

Série : Shutter island
Publié par LeYule le 2010-01-14 11:17:38

Très belle adaptation du polar du grand Dennis Lehane. Le cinéma l’a fait à plusieurs reprise avec succès (Mystic River, Gone Baby Gone), alors pourquoi pas la BD ? Pari réussi en tous points : l’histoire est captivante, le style graphique de Christian de Metter nous scotche dès les premières pages, les couleurs sombres servent parfaitement le récit et renforcent le sentiment d’oppression et de paranoïa. C’est certain, quelque chose ne tourne pas rond sur Shutter Island… Une très belle surprise.